lundi 9 mai 2011

Ce n'est donc pas nouveau

Je vous épargnerai les détails du pourquoi du comment, mais je me suis retrouvée à lire un article que j'avais écrit sur mon précédent blog, datant de novembre 2007, intitulé "Y a pas de mal à se faire du bien, non?". En le re-lisant, je n'ai pas pu réprimer mon étonnement: j'écrivais bien déjà j'étais donc déjà une slut à cette époque? J'étais vierge, mais le raisonnement, c'est exactement celui que j'ai aujourd'hui.

Deux jeunes adultes en soirée, plutôt conscients et parfaitement consentants, en manque d'affection et de câlins, n'en étant pas à leur premier échange de salive, n'ont ils pas droit de s'entraider mutuellement quelques minutes pour combler le manque cité précédemment? 
Je pense que si.
Alors pourquoi s'est-il excusé pendant tout le reste de la soirée? Certes, il était bourré, mais il a quand même dû comprendre que c'est moi qui lui ai donné mon autorisation!
M'enfin, je suis pas convaincue de ce qui m'a poussé à faire ça, quand même. Parce qu'à l'autre, je lui ai clairement dit non. Ok, l'autre, je le connaissais pas plus que ça, et il me regardait bizarrement. Et il ne m'a pas dit que j'étais très excitante ce soir là. Ni qu'il me sauterait bien dessus s'il ne me connaissait pas autant.

Pour ceux qui suivent (hum hum), je parlais de T.A. ici. Il lui avait suffit de me dire qu'il avait envie de moi pour que je lui saute dessus. Je ne pensais pas que ce comportement remontait à autant de temps quand même.

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